flûtiste
Presse
Évaluations de performance
« Dans la seconde partie, la flûtiste Lindsay Bryden a interprété avec brio le Concertino pour flûte en ré de Cécile Chaminade, apportant une dynamique et une sensibilité rares à la pièce, souvent considérée comme légère et frivole. » – Critique : Orchestre de la Francophonie (28 juillet), par Kiersten van Vliet, 2 août 2016 pour La Scena Musicale Online
« … Nous avons été éblouis par la virtuosité de la musique, par une flûte qui marie clarté d’expression, fluidité et couleur, où l’épanouissement sonore apporte avec lui une aisance égale dans les registres graves et aigus, une souplesse de phrasé et une puissance expressive. Il y avait bien longtemps qu’une flûte ne m’avait autant impressionné. » – « Une étoile est née : Lindsay Bryden, flûtiste », par Jean-Jacques van Vlasselaer, 17 juillet 2014 pour Le Droit
​“The programme started with Debussy’s Prélude à l’après-midi d’un faune. The acoustic proved absolutely perfect from the outset with the opening flute solo (played by Lindsay Bryden) blooming beautifully in the boomy, giving space of the hall.” – Ensemble Lunaire Bright with Promise reviewed by Madelaine Jones, April 20, 2013 for crosseyedpianist.com
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“The four movements of Jeux Vénitiens are precise and purposeful in terms of form, timbre and harmony… In the third, credit to Lindsay Bryden for the full, sensuous but anxious tone she gave the flute solo, like a re-composition of Debussy’s Syrinx superimposed on the complex orchestral musings leading to an agitated climax.” – review by Curtis Rogers, February 6, 2013 for www.classicalsource.com
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“Widor’s Suite op. 34 was especially lovely, endowed as it was with Bryden’s sensuous sound.” – Richard Todd, The Ottawa Citizen, January 5, 2012​​​​​​​​​​​​​​
« Nous avons enfin eu la chance d’apprécier la lecture calme et minutieuse de la Suite Modale de Bloch par Lindsay Bryden… Son ouverture calme a été rendue mémorable par Mme Bryden par la douceur et la rondeur du ton qu’elle a produit, suivie de passages d’une virtuosité extrême avant de s’enfoncer dans un grand Adagio d’adieu. Cela semblait impliquer la résolution de toute la véhémence et du « mécontentement divin » de Bloch dans une œuvre néo-classique de la sérénité la plus olympienne. » – Sybil Michelow sur l’importance d’être Ernest Bloch, Music and Vision, décembre 2011
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« La flûtiste canadienne Lindsay Bryden a fait preuve d’une grande maturité musicale dans son interprétation équilibrée et évocatrice de la Suite Modale (1956), sa sonorité tendre étant finement soutenue par un accompagnateur accompli. Chaque mouvement s’écoulait avec délicatesse, le troisième mouvement animé étant suivi d’un finale convaincant. » – Malcolm Miller, musicologue et critique, MVDaily, Londres, Royaume-Uni, juillet 2011
Article du Ottawa Citizen par Steve Mazey (27 juin 2014) faisant la promotion de Music & Beyond.
Article du Ottawa Citizen par Steve Mazey (2 septembre 2010) faisant la promotion du récital du 6 septembre.
Article de The Flute View (avril 2016) sur les connexions du 21e siècle :
